Ep.27 Méthodes alternatives de lutte contre les nuisibles
Méthodes alternatives de lutte contre les nuisibles
Prenez une grande respiration et préparez-vous à vous sentir épuisé par l’invité de cette semaine – Heiko Kaiser – ou comme on l’appelle souvent ‘Hyper Heiko’ !
Basé à Rotorua, sur l’île du Nord de la Nouvelle-Zélande, Heiko est le fondateur et le propriétaire de la société de contrôle des nuisibles ALPECO (Alternative Pest Control), ainsi qu’impliqué dans la vente de produits, BRC insect lights et Designed-2-Kill (D2K), une société spécialisée dans les produits de contrôle des nuisibles non toxiques.
Toutefois, Heiko est probablement mieux connu pour son travail avec les bugs de lit.
Pendant plus de 25 ans, Heiko a travaillé en Allemagne et en Nouvelle-Zélande dans les secteurs de l’alimentation et de l’hôtellerie avant d’immigrer en Nouvelle-Zélande il y a environ 20 ans. Ainsi, devenir impliqué dans les bugs de lit au sein de l’industrie hôtelière était quelque chose comme une progression naturelle. Il se concentre beaucoup sur les traitements non toxiques et il est devenu bien connu pour son travail avec la chaleur créant le système Thermo-bug. C’est avec des températures élevées, supérieures à 55°C, mais parfois on utilise aussi la congélation. Les produits chimiques ne sont utilisés que si et quand c’est totalement nécessaire.
Heiko construit maintenant ses propres chauffages et équipements de traitement spécialisés et s’est récemment diversifié dans le traitement des borer (insectes communs de l’ameublement) en conteneurs et est fier d’annoncer qu’il a été récemment certifié pour effectuer légalement ces traitements en France.
Responding to the coronavirus crisis Heiko and BRC have developed a product, shortly to be released, to kill coronavirus. Les pestes et les virus offrent des stratégies comparables.
Un autre projet sur lequel il travaille, en collaboration avec Vodafone, consiste à combiner la technologie de surveillance à distance avec des pièges dans les sanctuaires de la faune sauvage afin de sauver les espèces natives. Cette approche high-tech s’adresse à une jeune génération de bénévoles. Les capteurs, les drones et les trappes automatisées sont l’avenir.